Platydemus manokwari Nouvelle-Guinée

par **marieannekeppers** Lun 17 Juin 2024 - 6:27

Zone Pacifique mais détectée en France pour la première fois en 20/1/48 et aux États-Unis en 20/1/59.

Classe : Rhabditophora Ordre : Tricladida Famille : Geoplanidae Sous-Famille : Rhynchodeminae Tribu : Rhynchodemini Genre : Platydemus

Platydemus manokwari, le Plathelminthe de Nouvelle-Guinée, une île au nord de l'Australie et au sud de l'équateur., Il s'agit d'une espèce de grande taille, une espèce de vers plats terrestres de la famille des Geoplanidae. Il s'agit d'une espèce de grande taille, prédatrice et invasive. Originaire de Nouvelle-Guinée, ce ver a été accidentellement introduit dans de nombreux pays

Les vers invasifs sont toxiques , c'est pourquoi vous ne devriez pas les toucher. « Si vous les trouvez, déterrez-les entiers et mettez-les dans un sac de rangement en plastique refermable avec du sel pour les tuer, puis vous pourrez ensuite les jeter dans le sac », a-t-elle déclaré. L'huile d'agrumes et le vinaigre sont d'autres méthodes d'extermination efficaces, mais doivent être appliqués directement sur le ver plat. "Le risque pour les humains est qu'ils puissent avoir une réaction allergique à cette toxine", a déclaré Anaya. Ils sont également porteurs du ver pulmonaire du rat et peuvent propager la méningite. "Mais nous n'en mangeons pas couramment, donc le risque est à un niveau très sûr", a déclaré Anaya.

les vers plat de Nouvelle-Guinée s’attaquent aux escargots européens. s’ils se répandent partout dans la nature, cet animal exotique pourrait s’attaquer aux escargots. Après tout ce qui se trouve sur le sol et qui est mou, comme les vers de terre». il y a urgence à prévenir la prolifération de cette espèce en Europe, en raison de la menace qu’elle représente pour la biodiversité, avec pour conséquence possible une baisse de la fertilité des sols. Ils sont classés dans la liste des 100 espèces exotiques les plus envahissantes au monde» Platydemus manokwari serait capable de suivre des «pistes» d’escargots, de monter aux arbres pour dénicher ses proies et même d’attaques grégaires «en bande organisée».

La vraie cause des invasions biologiques, c’est la mondialisation, c’est-à-dire le transport effréné de marchandises, avec des contrôles insuffisants, d’un bout à l’autre de la planète.

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